Nouveaux post docs au CEE-M

25 octobre 2023
  • Trois nouveaux post-doctorants intègrent le CEE-M en cet automne 2023 :

Simon Varaine : Simon a obtenu son doctorant en sciences politiques en 2020, à Science Po Grenoble (UMR Pacte). Assistant de recherche à partir de 2021, Simon a travaillé au sein du projet Poldem: Democratic Policing, financé par la Défenseure des Droits, et dirigé par Sebastian Roché. Il rejoint le CEE-M dans le cadre d’un post-doc au sein du projet GROUP: In-group Favoritism in Intergroup Conflicts, financé par l’ANR, et dirigé par Guillaume Cheikbossian. Ses thématiques de recherche sont la violence politique, les conflits inter-groupes, l’économie politique et les méthodes quantitatives et expérimentales.

Miao Dai : Miao est économiste de l’environnement. Il a obtenu son doctorat en 2023 à l’université Mc Gill (Cananda), dans lequel il a étudié deux distorsions distinctes du marché : la présence de groupes de pression sur le marché international des déchets et la présence de propriété croisée dans le secteur des ressources non renouvelables. Ses recherches actuelles portent sur le rôle des minéraux critiques et de leur recyclage dans la transition vers l’énergie propre. Dans le cadre de ce post-doc au CEE-M, Miao va travailler avec Francesco Ricci et Mouez Fohda pour développer un modèle unifié permettant de caractériser la chaîne de valeur impliquée dans le recyclage, en identifiant les acteurs spécifiques et en analysant leur comportement.

Ibai Martinez Macias : Ibai, qui  a obtenu mon doctorat en économie à l’université du Pays basque sous la direction de Jaromír Kovářík et Luis Milleren 2023, est spécialisé dans les sciences du comportement. Ses principaux intérêts de recherche se situent dans les domaines de l’économie comportementale et des disciplines voisines, telles que la prise de décision et la psychologie sociale. La recherche post-doctorale, encadrée par Sophie Thoyer et Douadia Bougherara, sera menée dans le cadre d’un programme plus large financé par le Digital Agriculture Convergence Lab et par l’Institut technique français des cultures. La recherche impliquera des approches expérimentales pour mesurer les préférences des agriculteurs pour différents types et cadres d’information fournis par l’interface DST.